Et pourtant, pas de travaux derrière la tête, ni dedans.

En revanche, c'est là-dedans que, malgré mes efforts (dont je vous remercie de ne pas douter), il y aurait besoin de trier.

Il faut savoir jeter ce dont on ne se sert plus.

Or, tout m'est encore utile.

En réalité, il suffit de ranger.

C'est un exercice qui ne me déplaît pas : il me détend.

Mais vous avez dû vous-même faire cette étrange expérience : essayer de ranger quand il y a du monde.

Etre dérangé en même temps.

Si vous voyez ce que je veux dire.

Ce n'est pas le moment que je me souvienne de tous les points sur lesquels j'ai annoncé que je reviendrai.

Comme cette histoire de retenir une journée.

Pour rappel, j'avais pris l'exemple d'un jeudi.

Combien me reste-t'il d'heures pour trouver une solution d'ici après-demain ?

Je ne suis pas porté sur le calcul.

C'est moche.

Il ne faut pas que l'humeur fasse tout.

Il n'empêche.

J'entre ici, avec dans l'idée des tas d'histoires à raconter, j'ai vraiment envie de tchacher.

Et patatras, une contrariété.

Je passe donc en coup de vent.

Dépité, je me raccroche à un projet simple : ça va passer et je vais revenir.

Tant pis pour mes histoires.

D'autant que je crois que j'ai mieux.

A tout à l'heure.

Qu'est-ce que je vous chouchoute, tout de même.

Je reviens sur le passé récent (soyez assez souples pour ne pas avoir de point-de-vue sur ce mouvement, je vais vers l'arrière si et quand ça me chante).

Souvenez-vous (ou descendez le curseur), vous avez lu : "Gras crapauds, ça fera le titre". Eh bien je trouve cet intitulé mal venu.

Et comme je préfère que les choses soient dites, je ne me prive pas.

On l'aurait fait exprès pour m'embêter que ce ne serait pas plus catastrophique.

J'ai commencé la journée contrarié.

Ce que je ne vous souhaite pas.

De mon côté, je sais me défâcher.

Laissez-moi juste un peu le temps.

On en manque tous et toujours.

Spécialement dans cette épreuve, en ce qui me concerne.

Nom d'un chien.

Je vais tâcher de penser à la Fée clochette.

Oui, je vous expliquerai.

Mais si vous avez suivi pour Mademoiselle Grelot, vous raccrochez déjà les bidons.

Du moins, je l'espère.

Une contrariété à la fois s.v.p.

Que voyez-vous sur l'image en-dessous ?

Ok, vous me rassurez.

Quand je l'ai sorti(e) du nuage, ilelle n'était pas si content(e).

Mais je n'ai pas pu remettre la main sur le nuage.

Et le café, je le cherche encore.

Mais je vous serais reconnaissant d'entendre cette explication : je me suis très mal organisé aujourd'hui.

Et n'allez pas imaginer que je me console (rappelez-vous le titre).

Au passage, vous y croyez aux consolations ?

D'autant que je ne vois pas pourquoi je souhaiterais me consoler de quoi que ce soit.

Le désordre de la journée n'a pas empêché son bon déroulement.

Il ne manquerait plus que ça.

Non, mais je tiens à vous dire que lec…pardessusdutête a eu une conséquence regrettable : je viens d'arriver.

Oui, à cette heure.

Il se trouve que si c'était la mienne aujourd'hui (et elle était parfaite de mon point-de-vue), elle n'était pas celle à laquelle vous étiez habitués (et votre point-de-vue vaut le mien, j'ai rayé "au moins").

Je suis en retard.

Je ne vous demande pas de m'excuser, mais je n'aime toujours pas déranger.

C'est marrant (quoique), à mesure (et quelle cadence) que je cherche des arguments pour dire qu'il y a une cause à ce sensdessusdessous, j'ai dans l'idée que je sonde plus profond un marécage.

C'est que non seulement j'ai été retardé pour rentrer, mais il faut que je reparte.

Le temps fait vraiment du tracas.