Il y a un dicton qui dit…

… qu'il ne faut pas désespérer.

Rassurez-vous, je n'y crois pas plus que vous.

Je m'émerveille simplement (j'exagère un peu comme si l'exagération facilitait la compréhension, autre fable, passons car la soirée s'avance et que tous ces retards accumulés depuis ce matin me donnent la nausée; vous je ne sais pas si ça vous arrive stop, te-te, je file dans les décors), je m'émerveille donc (comment pouvez-vous suivre si je ne suis pas un brin fluide), je m'émerveille (dernier rappel) de pouvoir illustrer le bon sens dont on se loue de génération en génération.

Pour retenir le jeudi (la journée que j'avais prise en exemple : descendre le curseur), j'ai avancé.

Ah.

Oui.

Il faut envisager la question sous l'angle tactique.

Et, sans organisation, de tactique, il n'y a pas.

Donc, je vais désormais m'organiser.

Je reprends l'exemple du jeudi : dès le dimanche soir, je décrète que la semaine commencera le mardi au lieu du lundi. Ainsi, le jeudi n'est plus le 4ème jour de la semaine. Aussi, quand la journée du jeudi (ancien système) se lève, pour ma part, je ne suis qu'à la 3ème journée de la semaine (le système de mon invention)… sans ignorer que je suis le jeudi. Seulement, voilà, le 4ème jour (dans l'ancien système, c'est le 5ème), je suis jeudi (au lieu de vendredi). Total du bénéfice : je vis deux jeudis.

Vous avez l'intuition que ma méthode, si elle est perfectible, peut se décliner à l'infini.

Mais j'ai dans l'idée que vous ne partagez pas ma béatitude.

Béatitude ?

Là, je dis des bêtises.